Et si la violence au travail n’était pas toujours visible ni intentionnelle ?
- Aurore Braun
- 25 juil.
- 1 min de lecture

Illustration Simon Leroux
Pression constante, objectifs irréalistes, absence de reconnaissance, surcontrôle, injonctions contradictoires, isolement professionnel…
Ces formes de violence structurelle ne laissent pas de bleus — mais elles épuisent, démotivent et abîment profondément les personnes.
Elles relèvent d’un management toxique souvent banalisé, parfois valorisé, rarement remis en question.
🔍 Ce qu’on appelle management pathogène, ce sont des pratiques qui, par leur fréquence ou leur intensité, finissent par rendre malades les individus comme les collectifs :
Management par la peur ou la culpabilisation
Surveillance excessive, absence de confiance
Charge de travail déconnectée du terrain
Incohérences hiérarchiques, manque de soutien, mépris du travail réel
👉 L’ANACT propose des repères concrets pour agir sur ces dynamiques, notamment à travers son kit “Agir sur la charge de travail”, un outil pour ouvrir le dialogue et transformer les pratiques managériales.
📚 En complément, le site Souffrance-et-travail.com recense les techniques de management pathogènes, pour mieux les reconnaître et les prévenir.
💬 Et si on remettait l’humain au centre du travail ?
Et si on parlait de leadership responsable, de coopération, d’écoute réelle, de charge mentale soutenable, de reconnaissance sincère ?
Parce que la santé des personnes et des organisations commence là.
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